AMLO propone un tribunal que sancione el actuar de jueces, magistrados y ministros - NODAL
jueves, 30 de noviembre de 2023
MÉXICO: "Quiero Ser" - Fat Mojo Live at Jazzatlán
Fat Mojo (Mou'yo) es una explosión de sonidos con raíces blues y ritmos funk-soul; es groove, estilo e interacción musical.
Amamos hacerte bailar y sentir lo que tenemos por contar.
la banda nació en Puebla, MX, pero pertenecemos a donde nos lleve la música.
Desde 2016 hemos estado explorando y jugando con nuestro sonido. Empezamos escribiendo en inglés, pero nuestras raíces nos llamaron a continuar escribiendo en nuestro idioma natal: el español.
Somos fans de la música de origen afroamericano como el funk, soul, R&B, jazz y blues, aunque sabemos disfrutar la música latina como nadie. Nuestra música se ha vuelto una combinación de todo lo que nos inspira y nos gusta, y gracias a ello hemos logrado llegar a más de 20 ciudades del país, a toda la gente que se ha identificado con nuestro ritmo y mensaje.
Esperamos llegar a ti también.
Jimena y Jerry
miércoles, 29 de noviembre de 2023
BARCELONA: El Último de la Fila - Navaja de papel (Versión 2023) - Lyric video oficial
martes, 28 de noviembre de 2023
BRÉSIL: Lucas Santtana - Cira, Regina e Nana (Clipe)
Lucas Mascarenhas Santana, dit Lucas Santtana, né le à Salvador de Bahia, est un chanteur, multi-instrumentiste, compositeur et producteur brésilien.
Le père de Lucas Santtana est un producteur de musique ayant travaillé avec Gilberto Gil et Caetano Veloso. Sa mère est directrice d'une école de danse. Son oncle est Tom Zé.
Il commence sa carrière musicale à 20 ans et gagne sa vie surtout en tant que musicien pour d'autres artistes. Il joue par exemple de la flûte traversière pour Gilberto Gil en 1994.
Sa carrière solo débute véritablement en 2000 lorsqu'il sort son premier album, Eletro Ben Dodô.
Son quatrième album Sem Nostalgia a connu un succès international et a été classé parmi les meilleurs albums de l’année 2011 par plusieurs revues françaises.
En 2012, Lucas Santtana a sorti son cinquième album O deus que devasta mas também cura, mêlant ses multiples influences à des couches orchestrales, jouées en live ou samplées.
Son huitième album, O Céu É Velho Há Muito Tempo, est considéré comme l'un des 25 meilleurs albums brésiliens du second semestre 2019 par l'Association des critiques d'art de São Paulo. Dans cet album, il abandonne les sonorités électro pour une approche acoustique guitare-voix et met en avant des thèmes plus politiques dans ses textes.
source: wikipedia
lunes, 27 de noviembre de 2023
GALICIA: Xabier Díaz & Adufeiras de Salitre - Tentenublo (Live Celtic Connections...
Xabier Diaz est un artiste compositeur galicien qui défend avec convictions sa culture son patrimoine musical. Depuis plus de 30 années il est devenu un maître de la cornemuse galicienne (gaïta) et sa carrière artistique a croisé différentes routes musicales. Son important travail de collectage lui a permis de devenir un artiste essentiel de Galice contemporaine. C’est un homme engagé et qui affirme sa culture musicale accompagné de 12 chanteuses percussionnistes et de ses musiciens : accordéon gaïta, violon. La voix de Xabier Diaz est chaleureuse, forte et elle fusionne avec celle des chanteuses et leurs tambourins galiciens. Cet album est une magnifique découverte du patrimoine galicien qui met en valeur la tradition du chant en groupe soutenu par la présence lancinante des tambourins qui marquent le rythme et nous embarquent loin. On est parfois pris par cette transe musicale portée par les voix et les rythmes envoutants, impossible de rester insensible à cet album de Xabier Diaz qui loin de toute musique folklorique donne une dimension nouvelle à la Galice et son patrimoine musical vivant. C’est chaleureux, à dimension humaine et à découvrir sans tarder.
domingo, 26 de noviembre de 2023
BRASIL: Jorge Ben Jor - País Tropical
Jorge Duilio Lima Menezes est né dans une favela de Rio de Janeiro. Son père, Augusto Menezes, jouait dans un groupe nommé « Cometas de Rio ». Dans sa jeunesse, Jorge se passionne pour le football, et intègre même l'équipe junior du Flamengo. Son premier disque Samba Esquema Novo, publié par Philips, sort en 1963 (avec déjà les chansons Mas que nada qui sera reprise par Sérgio Mendes et Por causa de você), et rencontre un grand succès. Il sort ensuite deux nouveaux disques entre 1963 et 1964.
À la suite du coup d'État militaire de 1964, la carrière de Jorge ralentit, et ses nouveaux disques suscitent moins d'enthousiasme.
En 1968, sa carrière est relancée par une émission enregistrée à la télévision avec Caetano Veloso et Gilberto Gil. Il intègre des rythmes modernes à ses compositions et séduit alors à nouveau le public.
Il prit initialement comme nom de scène Jorge Ben, en mémoire du nom de sa mère (d'origine éthiopienne). Ultérieurement, il le modifia en Jorge Ben Jor à cause de la confusion qu'il y avait avec le nom du guitariste George Benson. C'est essentiellement à cause d'un changement de maison de disques qu'il change de nom.
Son style distinctif, le samba-rock mêle la samba, le funk, le rock avec des paroles humoristiques, satiriques et parfois aux thèmes ésotériques.
« A tábua de esmeralda (1974) » est souvent considéré comme son meilleur album et traite des thématiques alchimistes. Il marque une rupture réussie avec son style habituel et inaugure sa période « ésotérique » qui se conclut avec Africa-Brasil (1976).
Jorge Ben Jor a composé des titres devenus de grands classiques brésiliens comme Mas que Nada (1963), Taj Mahal (1969) (copiée par Rod Stewart pour Da Ya Think I'm Sexy?, affaire qui se finira par un arrangement empêchant Stewart de toucher de l'argent sur ce qui est finalement son plus gros succès), Pais Tropical (1972) ou encore Fio Maravilha (1972, repris par Nicoletta).
Il a sorti en 2006 une compilation de chansons sur le thème du football, Foot & Samba groove association, regroupant ses chansons inspirées par le football.
Il habite à l'année une chambre du célèbre hôtel Copacabana Palace sur la plage du même nom à Rio de Janeiro.
source: wikipedia
sábado, 25 de noviembre de 2023
CATALUÑA: "Avui les Fades i les Bruixes s'Estimen" · Carola Ortiz & OCT 48
Hija de músico de jazz y de madre vinculada al mundo del teatro, Carola Ortiz (Terrassa – Barcelona, 1986) es una artista que se define a sí misma como creadora e investigadora musical multiforme. Con carrera de clarinete clásico y canto de jazz en ESMUC (Barcelona), desde 2009 trabaja, crea e investiga para llevar a cabo proyectos musicales que, desde el principio, le supongan un reto. Su curiosidad no tiene fin y mezcla con libertad y fluidez la improvisación que se respira en los clubs de jazz (donde ha crecido), la disciplina de la música clásica (tras muchos años de estudio en el Conservatorio de Terrassa) y la fuerza rítmica y melódica de sus raíces ibéricas, infusionando sonoridades de las músicas del este del Mediterráneo hasta aromas de la música de la India (fruto de sus numerosos viajes por esos países).
Con tres álbumes como compositora y productora ha tocado su música por clubes, teatros y festivales de más de 30 países diferentes y ha llamado la atención de la prensa nacional e internacional, tanto en el ámbito del jazz como de la música de autor y músicas del mundo.
Ha formado parte de la orquesta de percusión ibérica Coetus y ha compartido escenario con artistas como Xabier Díaz, Eliseo Parra, Rocío Márquez, Raúl Refree, Rosalía, Silvia Perez Cruz, Luis Vidal, Marco Mezquida, María Rodés, Marina Rossell, Roger Mas y un largo etcétera de nombres internacionales como Debhashish Bhattacharya, The Mingus Orchestra, Kenny Woellesen o Maria Schneider entre otros. También ha participado en una treintena de discos de artistas nacionales e internacionales de distintos géneros.
Aun así, a los dieciocho años descubre que su pasión es viajar y nutrirse de músicas y culturas de otros países. Ha vivido en Nueva York y ha pasado largas estancias en la India, Berlín, Brasil, Grecia, Turquía…
Desde sus inicios ha tocado con primeros nombres del jazz, del flamenco y de la escena world-folk, tanto en el ámbito nacional como internacional; ha colaborado en más de veinte discos, y ha coproducido tres álbumes con grupos propios (Minimal Hits y AxisOrca). En 2016 se estrenó como solista con el álbum Sirin, doblemente nominado a los Independent Music Awards de Nueva York. Lo siguió Spirala (2018), que figura entre los mejores discos de 2019 recomendados por el periodista estadounidense Ted Gioia.
Carola ha interpretado sus composiciones en clubes y festivales de la Península, Francia, Italia, Nueva York, Canadá, India, Alemania, Inglaterra y Hungría.
viernes, 24 de noviembre de 2023
BRASIL: Wilson das Neves | Berimbau (Baden Powell/Vinícius de Moraes) | Instrume...
Wilson das Neves (Rio de Janeiro, 14 de junho de 1936 — Rio de Janeiro, 26 de agosto de 2017) foi um baterista, cantor e compositor brasileiro.
Em mais de cinquenta anos de carreira como baterista, participou de mais de 800 gravações e acompanhou Carlos Lyra, Ney Matogrosso, João Bosco, Maria Bethânia, Gal Costa, Emílio Santiago, Nelson Gonçalves, Caetano Veloso, Gilberto Gil, Alcione, Tom Jobim e Miucha, entre vários artistas da MPB além de internacionais como Michel Legrand, Toots Thielemans, Sarah Vaughan e Sean Lennon.
source: wikipedia
jueves, 23 de noviembre de 2023
MURCIA: XXIV FERIA DE TRADICIONES POPULARES DE YESTE: ANIMEROS DE SAN BLAS
La cuadrilla de Ánimas es la agrupación musical tradicional característica del sureste español, típica de toda la Región de Murcia y varias comarcas del norte de Almería (Valle del Almanzora y Los Vélez), así como la Alpujarra Almeriense, norte de Granada (comarca de Huéscar, especialmente Puebla de Don Fadrique, así como la Alpujarra Granadina) y sur de Albacete (Sierra de Segura).
Antiguamente se hallaban en la mayoría de los pueblos, habiendo sobrevivido hasta la actualidad (muchas de ellas renaciendo después de haberse desintegrado en los años 60) sobre todo en el medio rural y en poblaciones más o menos pequeñas.
Origen e historia[editar]
Su nombre lo deben a la función que históricamente desempeñaban estos grupos: recaudar dinero en las épocas de festividades cristianas en nombre de las Ánimas Benditas del Purgatorio, aprovechando lo que los feligreses les daban para redimir a las almas para el mantenimiento de las ermitas o demás menesteres de estas cofradías. Esta devoción todavía presente en personas de mediana edad, común a todo el Sureste, queda patente en estas coplas del aguilando de Vélez-Blanco (Almería), cantado con rasgos del dialecto local:
dale si les queráis dar,
que Dios todopoderoso
todo sus lo premiará.
Limosna que recibemos,
en bien de las Almas va.
Que tuisco el mundo tinemos
ánimas por quién rezar.
A las Ánimas Benditas
no les cierra la puerta.
Se les dice que perdonen
y ellas se van tan contentas."miércoles, 22 de noviembre de 2023
BRASIL: Sanfona Sentida - Dominguinhos, Mariana Aydar e Duani
martes, 21 de noviembre de 2023
BARCELONA: Tisom Tiše - Barcelona Gipsy balKan Orchestra
lunes, 20 de noviembre de 2023
ECUADOR: The Yagé Jazz Project - Taromenani
domingo, 19 de noviembre de 2023
FRANCE / ESPAGNE: Manu Chao Clandestino | Jouer pour le changement | Chanson autour du monde
sábado, 18 de noviembre de 2023
EUSKADI: *EN ALGÚN LUGAR* - DUNCAN DHU - 1987 (RM)
Duncan Dhu est un groupe de rock espagnol, originaire de Saint-Sébastien. Formé en 1984, ses membres originaux étaient Mikel Erentxun (chanteur et guitariste), Diego Vasallo (chanteur et bassiste), et Juan Ramón Viles (batterie). Depuis 1989, il est composé des deux premiers.
Le nom du groupe fait référence à un personnage de Enlevé !, un roman de 1886 de Robert Louis Stevenson. Dans ce document, Duncan Dhu était à la tête d'un clan écossais qui fascinait Erentxun à cette époque. Le groupe se sépare en 2001 mais revient 12 ans plus tard pour un ultime album, El Duelo, sorti en 2013.
source: wikipedia
viernes, 17 de noviembre de 2023
ARGENTINA: Soda Stereo - De Música Ligera (Official Video)
De música ligera es una canción escrita por Gustavo Cerati y Zeta Bosio, e interpretada por Soda Stereo. Grabada y lanzada en el primer semestre de 1990 como el primer sencillo de su quinto álbum de la Canción animal.
«De música ligera» es el tema más conocido, popular, emblemático y un himno latinoamericano del grupo. Es considerado como uno de los himnos del rock en español y una de las composiciones más reconocidas del rock argentino, y también es una de las canciones preferidas por el público.
Esta canción fue con la que se culminó para El Último Concierto de la banda. Al finalizar el tema, Gustavo, evidentemente emocionado, dio un agradecimiento a todos los fanáticos y colaboradores que hicieron que la banda llegara al éxito donde al final, y exclamaría la frase "¡Gracias... Totales!". Este momento se recuerda, como uno de los más memorables y emocionantes de la historia del rock en español
«De música ligera» logró el puesto 1° en el ranking de las 500 mejores canciones del rock iberoamericano por Al Borde en 2006, siendo así elegida como la mejor canción del rock en Iberoamérica de toda la historia; el puesto 20° de las 20 mejores canciones del rock en español por E! en 2011; el puesto 4° de las 100 mejores canciones del rock argentino por la Rolling Stone Argentina y MTV en 2002; y el puesto 4° de las 100 mejores canciones del rock argentino por Rock.com.ar en 2007. A nivel mundial, el sitio web recopilatorio de críticas musicales, Acclaimed Music, ubicó a «De música ligera» en el puesto 27° de las mejores canciones lanzadas en 1990, y en el puesto 293° de toda la década de los 90's.
fuente: wikipedia
jueves, 16 de noviembre de 2023
ESPAÑA: Burruezo & Nur Camerata en concierto
miércoles, 15 de noviembre de 2023
ECUADOR: Los Chigualeros - Añoranzas
martes, 14 de noviembre de 2023
CANARIAS: Marilia Monzón - Prenderé Una Velita (Vídeo Oficial)
Las tabaibas, los vientos alisios y los volcanes son parte del paisaje sonoro que ha creado la cantante canaria Marilia Monzón (Gáldar, 2000) en su primer álbum, titulado La marea. La artista se dio a conocer en el año 2019 gracias al programa Operación Triunfo y, dos años más tarde, ha plasmado su estilo en canciones que evocan a su tierra y que también toman de inspiración ritmos de Latinoamérica. El próximo tres de diciembre actuará en Tenerife, en la sala de conciertos El Búho, en la que dará un concierto en acústico y presentará temas inéditos.
- Su álbum está lleno de referencias a Canarias, ¿cómo fue el proceso a la hora de componer las canciones que lo integran?
“Cuando empecé en el mundo de la música mi familia y, sobre todo, mi abuelo, me repetían continuamente que no me podía olvidar de mi tierra y de mis raíces, que las llevara siempre conmigo. Por eso me gusta llevar ese trocito de mí que es mi tierra, donde nací, donde crecí y donde tengo a mi familia y a muchos de mis amigos y amigas. Siempre he querido mezclar un poco esas raíces canarias con las raíces latinoamericanas que también han estado muy presentes durante toda mi vida”.
- Tabaibas, senderos, volcanes, vientos alisios… la naturaleza parece tener un papel relevante en sus letras
“Pues sí. Al final tengo muy presente mi tierra, los lugares a los que voy siempre y, por supuesto, los vientos alisios, ¡cómo no iban a estar en algunas de mis canciones los alisios! En realidad, pensé mucho en qué aspectos quería coger de la naturaleza de nuestro Archipiélago”.
- Hablando de las Islas, se ha mudado a Madrid y ha plasmado lo que esto ha supuesto en la canción Trazando rutas. ¿Cómo lleva la morriña hacia su tierra de la que habla en ese tema?
“Pues eso, tengo totalmente morriña. Aunque desde que tenía dieciséis años tenía muy claro que me quería ir de mi casa para estudiar fuera. Mis padres al principio, sobre todo mi madre, no lo toleraban demasiado y solo me dejaron irme a estudiar a la Isla de al lado, a Fuerteventura, donde me matriculé en Enfermería. Y bueno, casualidades de la vida, los caminos se me truncaron un poco y los planes, también. En la vida no puedes planear nada, porque cuando menos te lo esperas todo cambia, y eso fue lo que me ocurrió, que justo antes de marcharme a Fuerteventura me fui a Barcelona a concursar en Operación Triunfo y cuando volví a Canarias me di cuenta de que mi vida debe estar en Madrid. Por temas de grabaciones y demás tenía mucho que ir a la capital, así que era lo que tenía que hacer, aunque, por supuesto, siempre que puedo me escapo para venir a nuestro paraíso”.
fuente: Diario de Avisos (Tenerife)