miércoles, 31 de mayo de 2017
martes, 30 de mayo de 2017
MEXIQUE: el buscapiés- son jarocho sureño
Antonio Machado a écrit:"Españolito que vienes al mundo, te guarde Dios. Una de las dos Españas ha de helarte el corazón". On pourrait écrire la même chose sur le Mexique d'aujourd'hui. Ce "son jarocho", lui, fait partie du Mexique qui réchauffe le coeur.
lunes, 29 de mayo de 2017
ALTO ARAGON: nabateros
Chaque année, l'avant dernier week-end du mois de mai, quand la fonte des neiges permet d'avoir un débit d'eau suffisant, de grands radeaux en troncs d'arbres descendent le Río Cinca, entre Laspuña et Aínsa. Ce sont les "nabatas" et les hommes qui les construisent et les guident sont les "nabateros". Ils font revivre le temps d'une fête un vieux métier qui a existé pendant 4 siècles jusqu'en 1943. Il permettait de transporter le bois des forêts du Haut Aragon, autour d'Ordesa, jusqu'à Saragosse, Tortosa et la méditerranée, le Cinca étant un affluent de l'Èbre.
Nabatas |
Nabateros orgullosos |
¡Que no falte el jamón! |
Navegando en aguas bravas |
domingo, 28 de mayo de 2017
sábado, 27 de mayo de 2017
ATAHUALPA
ATAHUALPA
Pau,
25 mai 1992
Je
suis en train de faire quelques courses au Mammouth, celui qui écrase
les prix.
Il
y a deux jours, Atahualpa Yupanqui est décédé, en sortant de
scène, lors d'un concert à Nîmes. Je fredonne dans ma tête Los
ejes de mi carreta. Les roues du
chariot que je pousse manquent un peu de graisse, comme les essieux
de la charrette. Avant de rejoindre les caisses, je passe devant le
rayon « disques ». Je décide de m'y arrêter. Je vais
peut-être y trouver une compilation avec les meilleures chansons de
Don Ata. Dans le bac « musiques du monde », les CD de quéneux et flûteux de pan qui n'ont vu les Andes qu'en touriste et
qui font trépasser le condor sont nombreux, la salsa démoniaque
aussi, mais point d'Atahualpa.
Un peu dépité, je me dirige
vers la vendeuse en blouse bleue :
- « Pardon Madame, est-ce
que vous auriez des CD d'Atahualpa Yupanqui ? »
- « Ni l'un ni l'autre ,
Monsieur» me répond-elle avec aplomb.
Je ressens tout d'un coup une
grande solitude au milieu de la Pampa commerciale.
François Lassabe
viernes, 26 de mayo de 2017
ARGENTINE: Cocodrilos - Gastón Pose en Sesiones Sotana del Teatro Petit Comité.
Cet auteur compositeur interprète argentin ne manque pas d'humour. De plus, c'est un excellent guitariste.
jueves, 25 de mayo de 2017
miércoles, 24 de mayo de 2017
MADRID: Hilario Camacho - Madrid amanece (Directo)
Ce grand auteur compositeur interprète madrilène a commencé sa carrière en 1967, en chantant dans les universités, en pleine répression franquiste. Il nous a quitté en 2006, à l'âge e 58 ans. Un de ses thèmes récurrents était celui de la solitude, dont il souffrait, perdu dans la grande ville.
martes, 23 de mayo de 2017
CUBA: Buena Fe y Silvio Rodríguez - La tempestad
Estreno de Cubadebate: Video de La Tempestad con Buena Fe y Silvio Rodríguez
Por: Redacción de Cubadebate
El tema La tempestad, de la autoría de Israel Rojas, se grabó junto a Silvio Rodríguez en octubre de 2016 y fue incluido en el disco Sobreviviente, que saldrá en marzo de 2017.
Cubadebate les ofrece hoy en exclusiva, generosidad mediante de Israel Rojas, el video de esta extraordinaria canción que acaba de ser terminado; una realización del joven director de cine Marcel Beltrán, producida por la Escuela Internacional de Cine y Televisión de San Antonio de los Baños. Un homenaje diferente a José Martí en el aniversario 164 de su nacimiento.
A propósito de este estreno, el director de Buena Fe comentó a nuestra publicación:
La canción “La Tempestad” es una metáfora de estos tiempos. Un canto al diálogo e intercambio generacional. Este es el país que tenemos y nada cambiará por obra de las casualidades, sino de las causalidades que generemos con trabajo, ciencia y cultura. Nos deben guíar las mejores ideas, aspiraciones y conductas de los que la poblamos fisicamente, o la llevan en el alma en cualquier lugar del mundo hoy y también de los que ya no están vivos, pero la estudiaron, amaron y defendieron. Es vital reivindicar el derecho a soñar. De ser posible, incluso motivar a los que perdieron esa maravillosa capacidad. Preferentemente soñar con los pies en la tierra.
lunes, 22 de mayo de 2017
domingo, 21 de mayo de 2017
MEXIQUE: Juan Villoro - Miradas Urbanas (Pt. 1/3)
L'écrivain Juan Villoro parle de sa ville: Mexico.
sábado, 20 de mayo de 2017
ECUADOR: "Coplas del carnaval de Licto"
Deux grands noms de la musique populaire équatorienne, Mariela Condo et Alex Alvear, interprètent ce chant traditionnel.
viernes, 19 de mayo de 2017
ARGENTINE: Porteños
PORTEÑOS
Pau,
mars 2007
Les
argentins n'ont pas une très bonne réputation en Amérique latine.
Cette mauvaise image est due principalement aux « porteños »,
les habitants d'origine européenne de Buenos Aires, qui ont tendance
à se comporter avec une certaine suffisance et un sentiment de
supériorité lorsqu'ils se trouvent dans un pays plus métissé,
plus indigène que le leur.
Au
Mexique, les histoires drôles que l'on raconte sur les argentins
sont souvent assez cruelles. En voici un exemple :
- Pourquoi y a-t-il en Argentine autant de prématurés ?
- Parce que leur propre mère ne les supporte pas 9 mois.
Et
une deuxième :
- Pourquoi les argentins de Paris montent-ils une fois par mois en haut de la Tour Eiffel ?
- Pour voir à quoi ressemble Paris sans eux.
En
ce mois de mars 2007, le festival culturAmérica bat son plein. Les
invités sont nombreux et il faut s'en occuper dès la fin de la
matinée jusqu'à une heure avancée de la nuit. Le matin est réservé
aux visites touristiques de Pau, de la Côte Basque ou de Lourdes
pour ceux qui le souhaitent. A midi, c'est l'occasion de faire se
rencontrer des latino-américains différents les uns des autres. Car
si vue d'Europe l'Amérique latine semble être une région du monde
unie par un même passé colonial et une même culture ibérique, il
existe dans les faits une grande distance physique, raciale, sociale,
culturelle et politique entre certains pays qui la composent. Et ce
malgré les différents organismes d'intégration existants, comme
l'OEA, l'UNASUR ou la CELAC.
C'est
ainsi que, lors d'un repas dans une brasserie paloise du Boulevard
des Pyrénées, l'accordéoniste argentin Raúl Barboza fit
connaissance du sociologue et anthropologue mexicain Héctor Díaz
Polanco. Après de brèves présentations et en toute confiance,
Héctor raconta à Raúl qu'en tant que professeur de l'UNAM
(Université Nationale Autonome du Mexique), il avait longtemps eu
une mauvaise opinion de ses collègues argentins qui, depuis le coup
d'état des généraux Videla, Galtieri et compagnie, en 1976,
avaient débarqué à l'UNAM avec le statut de réfugiés politiques.
Grâce à leur curriculum étoffé, leur faconde et leur aptitude à
se vendre, ils avaient réussi à occuper des postes auxquels les
professeurs mexicains aspiraient depuis plusieurs années. Et il
ajouta :
« Ils
nous considéraient comme des indiens descendus des collines à coups
de tambours1».
Lorsque
le recteur de l'UNAM lui demanda un jour de se rendre à Buenos
Aires pour représenter son université à un colloque, sa première
réponse fut négative. Mais le recteur insista et Héctor finit par
accepter à contrecoeur. Une fois sur place, il eut la bonne
surprise de découvrir des universitaires argentins chaleureux,
ouverts, humbles, et désireux de mieux connaître la réalité
mexicaine. La veille de son départ, Hector fit cette confidence au
collègue argentin qui l'accompagnait :
« Tu
sais, j'ai hésité à venir à ce colloque car mes collègues
argentins de l'UNAM sont prétentieux et se croient supérieurs à
nous, les mexicains. Mais ici, j'ai fait connaissance de professeurs
vraiment différents, cultivés et compétents comme toi, mais en
plus respectueux des différences et avec de grandes qualités
humaines.
Et
son ami argentin lui répondit :
« Je
t'explique, ce qui se passe c'est qu'ici, en Argentine, nous nous
annulons les uns les autres ».
En
entendant ces propos, Raúl Barboza éclata de rire et faillit tomber
à la renverse.
François Lassabe
1Indios
bajados del cerro a tamborazos
jueves, 18 de mayo de 2017
MADRID/CUBA: "Manteca" Chicas de la Habana ..Latin Jazz
Ces 5 cubaines résidant à Madrid sont aussi de bonnes musiciennes, en particulier la percussionniste Madelin Espinosa, qui accompagnait, il y a quelques années, Raúl Torres.
martes, 16 de mayo de 2017
PERÚ: Los Wemblers / Mejor es Dialogar
Los Wembler's, composé des cinq frères Sánchez, est un groupe mythique de la ville d' Iquitos, capitale de l'Amazonie péruvienne. Depuis les années 70, il s'inscrit dans des styles appelés chicha, puis sonido amazónico et enfin cumbia amazónica. Son message est clair: il vaut mieux dialoguer.
lunes, 15 de mayo de 2017
CATALOGNE: La Sra. Tomasa - Es lo que hay (videoclip oficial)
La Señora Tomasa est un jeune groupe de Barcelone qui propose un savoureux mélange de rythmes tropicaux avec l'électronique la plus avancée, sans oublier l'ingrédient de base: la rumba catalane.
domingo, 14 de mayo de 2017
VENEZUELA: Entrevista al escritor Alberto Barrera Tyszka
L'écrivain vénézuélien Alberto Barrera Tyszka, invité de la dernière édition de culturAmérica, présente son oeuvre.
sábado, 13 de mayo de 2017
CASTILLA Y LEÓN: El turismo a través de los ojos de Leo Harlem
Une façon originale de défendre le tourisme en Espagne.
viernes, 12 de mayo de 2017
HONDURAS: Polache - Hablo español
Polache (Paul H) est un chanteur de mère hondurienne et de père allemand qui est devenu très populaire en adoptant le langage de la rue des "catrachos" (honduriens). Sa chanson s'intitule "Hablo español" mais il est peu probable qu'un espagnol d'Espagne en comprenne plus de la moitié.
jueves, 11 de mayo de 2017
BALEARES: Biel Ballester Trio feat. Stochelo Rosenberg- Per Na Colo
Biel Ballester est un guitariste majorquin issu de Conservatoire Supérieur de Barcelone qui a choisi de s'orienter vers le jazz et en particulier le jazz manouche. Il sera en concert le 2 juillet à Oloron dans le cadre du festival Des rives et des Notes.
miércoles, 10 de mayo de 2017
URUGUAY: Candombe
CANDOMBE
San
José de Mayo, Uruguay, février 2017
Sans
nos amis français Marie et Jean, nous ne serions peut-être jamais
venus dans cette ville de 36.000 habitants, éloignée des circuits
touristiques. Mais un de leurs cousins, Carlos, qui a la double
nationalité française et uruguayenne, y vit et y travaille comme
réparateur de machines agricoles. C'est l'occasion de partager la
vie quotidienne d'une ville de province uruguayenne et de faire la
connaissance de ses habitants. De plus, le carnaval de San José va
bientôt commencer et nous pourrons y voir les défilés des
« comparsas de candombe »1
que nous avons ratées d'une semaine à Montevideo.
Marie
et Jean sont déjà venus une dizaine de fois à San José et ils y
ont des amis. Dès le soir de notre arrivée, après avoir été
accueilli comme des membres de plus de la famille par Carlos et sa
fille Nicole, nous rendons visite à Adriana, propriétaire de la
plus réputée bijouterie de la ville. Une fois sa boutique fermée,
elle nous propose d'aller boire un verre sur la place principale de
la ville. Avec la simplicité et la chaleur humaine propre aux
uruguayens, elle nous dévoile plusieurs épisodes de sa vie et, au
fil de la conversation, le sujet des voyages est abordé. Adriana
n'aime pas voyager, elle se sent très bien à San José, mais quand
ses copines lui proposent de les accompagner, elle suit. Peu importe
la destination, son intérêt touristique et culturel, ce qui
l'intéresse c'est d'être avec ses amies.
Lors
d'une récente croisière au Brésil, lorsque le navire faisait
escale dans un port, elle ne descendait même pas sur terre. Elle
préférait rester bronzer au bord de la piscine.
Nous
la retrouvons le lendemain matin car Carolina veut se faire changer
le bracelet de sa montre. Une fois l'opération réalisée,
gratuitement bien sûr, et alors qu'une cliente vient de rentrer dans
la boutique avec ses deux grandes filles, Adriana nous demande quels
sont nos projets pour la soirée. Marie lui répond « Vamos a
ir a ver los ensayos del condonbe ».
Sans
faire exprès, elle vient de dire qu'au lieu d'aller voir les
répétitions des percussionnistes afro-uruguayens, nous allions
assister à des essais de préservatifs série B (condón B).
La
réaction d'Adriana ne se fait pas attendre. D'un ton agressif qui
cache mal son envie d'éclater de rire, elle nous dit « Sortez
d'ici immédiatement, quelle honte ! ». C'est pour sauver
la face et la réputation de son commerce. Que vont penser les trois
clientes BCBG venues chercher probablement leurs anneaux de
fiançailles ou de mariage !
Une
fois dans la rue, la conversation continue. Au lieu de faire profil
bas, Jean explique à Adriana avec sa forte voix que sa famille est
originaire de Condom, dans le Gers, et que les touristes prennent en
photo le panneau routier qui indique l'entrée de la ville.
De
là à croire que le lapsus était volontaire ...
1Groupes
de tambours expression de la communauté noire de Montevideo. Ils
sont accompagnés de personnages traditionnels comme le
« gramijero » (médecin herboriste) et la « Mama
Vieja ».
lunes, 8 de mayo de 2017
URUGUAY: Violence machiste
VIOLENCE MACHISTE
Montevideo,
Uruguay, 18 février 2017
Rien
de tel pour s'imprégner de l'ambiance d'une nouvelle ville dans
laquelle on vient de débarquer que de lire la presse locale.
Aujourd'hui, « El Observador » ne titre pas sur le
carnaval mais sur la violence machiste. Car ce phénomène prend des
proportions jusque là inconnues en Uruguay, ce petit pays longtemps
considéré comme « la Suisse de l'Amérique du Sud ».
Vingt-deux femmes y ont été assassinées en 2016 et cinq déjà
depuis le début de l'année.
Il
fait une chaleur humide en cette soirée estivale, la fenêtre de
notre chambre est ouverte, et tout d'un coup, des chants et des
rythmes de tambour attirent notre attention. Nous nous penchons et
voyons défiler à l'angle de l'avenue 18 de Julio des centaines de
femmes et, parmi elles, quelques hommes. Elles marchent d'un pas
décidé, en frappant dans les mains et en chantant des slogans sans
équivoque : « Mujer, escucha, únete a la lucha »
ou « No, no más, no, no matar más ».
Samedi
4 mars 2017
Comme
tous les soirs d'été, les retraités dansent le tango sur la place
Fabini. Sur le trottoir d'en face, les spectateurs discutent et
prennent le frais avant d'entrer dans la salle Zitarrosa pour
assister à un concert de « murgas »1.
Un taxi vient de s'arrêter sur l'avenue. La portière s'ouvre et
alors que la passagère, une femme d'une cinquantaine d'années,
s'apprête à sortir, un « latin lover » trentenaire,
jean, chemise blanche et lunettes de soleil relevées sur la
chevelure, se précipite sur elle et lui assène de violents coups de
poing au visage. La femme hurle, la tête en sang. Carolina pousse un
cri d'horreur, un homme se retourne et voyant la scène, il s'exclame
« cobarde2 »
et fond sur l'agresseur suivi de trois autres. Le violent abandonne
sa proie et se redresse menaçant, de l'air de dire « De quoi
vous vous mêlez ? Approchez si vous êtes des hommes ! »
Mais il est rapidement entouré, projeté au sol, et il reçoit une
pluie de coups de pied sur tout le corps.
Deux
minutes plus tard, le taxi est reparti avec sa passagère
ensanglantée, l'agresseur a fui, sûrement en se traînant vu la
correction qu'il vient de recevoir, la police n'a pas été appelée
et donc n'est pas venue, et le tango a repris ses droits. Seules
quelques tâches de sang sur le sol témoignent du déchaînement de
violence.
Un
quart d'heure plus tard, pendant le concert, un des chanteurs parlera
de ce qui s'est passé devant la salle et sa murga interprétera une
chanson d'actualité sur le thème de la violence machiste. C'est un
samedi soir d'été, à Montevideo.
François Lassabe
François Lassabe
1Formations
musico-théâtrales de chanteurs déguisés qui parodient
l'actualité pendant le carnaval
2lâche
domingo, 7 de mayo de 2017
TOULOUSE HISPANA Y LATINA
Les fresques de Raymond Moretti sous les arcades du Capitole |
La guerre civile (Toulouse a accueilli le gouvernement espagnol en exil en 1939) |
Carlos Gardel |
Maison natale de Charles Gardes, qui deviendra Carlos Gardel |
Porte d'entrée et plaque commémorative (maison natale de Carlos Gardel) |
La Catrina du restaurant mexicain Señor Taco |
Boissons mexicaines |
sábado, 6 de mayo de 2017
URUGUAY: EL CUARTETO DE NOS/ Ya no sé qué hacer conmigo
Ce groupe de rock uruguayen formé en 1984 à Montevideo ne s'est jamais pris trop au sérieux, ce qui fait son charme.
viernes, 5 de mayo de 2017
GALICIA: Luis Piedrahita: Preguntas - El Club de la Comedia
Cet humoriste de La Corogne se pose des questions absurdes auxquelles il répond avec une logique implacable.
jueves, 4 de mayo de 2017
URUGUAY: Daniel Viglietti - Nuestra Bandera -
L'une des icônes de la musique uruguayennes rend hommage au drapeau de son pays.
miércoles, 3 de mayo de 2017
ASTURIAS: Hevia - Tanzila
Hevia est le "gaitero" asturien connu pour avoir inventé la cornemuse électronique. Et pour avoir internationalisé la musique populaire de sa région en se produisant dans plus de 40 pays et en y vendant plus de deux millions et demi de disques. Il sera le 5 août prochain au Festival Interceltique de Lorient.
martes, 2 de mayo de 2017
ARGENTINE: Sofía Viola - "Me han robado el mar" (Live from Argentina)
Sofía Viola est née en Argentine mais le conflit qui oppose la Bolivie au Chili pour l'accès à la mer la touche personnellement.
lunes, 1 de mayo de 2017
ANDALUCÍA: Memorias del Loco | Capítulo 1: Quinterianos
Jesús Quinteros, alias "El loco de la colina" était capable de dévoiler l'âme de ses invités. Ses interviews qui accordent une large place aux silences sont des modèles du genre.
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