Caamaño & Ameixeiras habitan la muerte en su emocionante nuevo single "Ai de min", segundo y último adelanto de su inminente nuevo disco "Quitar o aire", que verá la luz en menos de un mes.
En este caso,Sabela CaamañoyAntíaAmeixeirasalumbran la luz más oscura de su cancionero con un canto a la muerte, un lamento desgarrador a la ausencia final de la persona querida. Y una canción en la que se dan la mano la raíz del folclore gallego más ritual con un registro que las acerca más a la canción alternativa de autor.
“Ai de min” desnuda el alma de las artistas gallegas desde el lamento y el recuerdo. Una canción de una gran mística y profundidad, cuya letra recoge tanto coplas tradicionales como versos de UxíoNovoneyra y de las propias Caamaño & Ameixeiras.
Una canción que sirve como última muestra antes de que vea la luz “Quitar o aire“, su nueva producción discográfica, que verá la luz el próximo viernes 20 de octubre y que presentarán en directo un par de días después, el domingo 22 de octubre en la icónica Sala Capitol de Santiago de Compostela, y el jueves 9 de noviembre en la Sala Clamores de Madrid, en el marco del ciclo MAZO.
Susana Esther Baca de la Colina, née le à Lima au Pérou, est une chanteuse et compositrice péruvienne. Icône de la musique afro péruvienne, elle chante l'histoire méconnue des Africains amenés comme esclaves au Pérou. Elle a également été ministre de la Culture de son pays.
Née dans le district de Chorrillos à Lima, Susana Baca est la cousine des musiciens Caitro Soto et Ronaldo Campos.
Avec son mari, le musicologue bolivien Ricardo Pereyra, elle collecte les musiques et les chants afro-péruviens et fonde l’Institut Negro continuo en 1992.
En 2002, elle remporte le Latin Grammy Award pour son album Lamento Negro.
En 2010, elle collabore dans la chanson Latinoamérica de Calle 13, qui reprend de nombreux thèmes culturels latinoaméricains. Cette chanson obtient deux Latin Grammy Awards l'année suivante.
De juillet à , elle sera brièvement nommée ministre de la Culture du Pérou, dans le gouvernement d’Ollanta Humala. Elle déclare à cette occasion : « Je crois que je suis la première ministre noire de l’histoire du Pérou2. » mais aussi, quelques années plus tard : « Il disait que j’étais la ministre de l’inclusion sociale, mais cette pensée n’a pas duré longtemps chez le señor Humala. Je ne regrette pas d’avoir accepté. J’ai fait tout ce que j’ai pu dans le très court temps où je suis restée et je garde toujours la fierté d’avoir pu servir mon pays.
Pour autant, elle continue à enregistrer des albums consacrés à la culture afro-péruvienne ou aux poètes latino-américains, comme en 2021, à 77 ans, Palabras urgentes (« paroles urgentes »).