miércoles, 31 de octubre de 2018
martes, 30 de octubre de 2018
BRASIL: Jorge Ben Jor - Pais Tropical-Spyro Gyra
Une belle chanson de Jorge Ben Jorge dont on pourrait actualiser les paroles de la façon suivante:
"Moro num país TRUMPical
nas mãos dos bancos de Deus
e feliz da sua pobreza, mas que beleza
...
domingo, 28 de octubre de 2018
ARGENTINA: TRIO MJC - Década (Jorge Martínez)
Ce trio de Córdoba est formé de Jorge Martínez (piano), Pablo Jaurena (bandonéon) et Mauro Ciavattini (vents). Il est considéré par la critique spécialisée comme un des meilleurs et plus novateurs groupes instrumentaux de la musique populaire argentine.
sábado, 27 de octubre de 2018
MADRID: Joaquín Sabina - Noches de boda / Y nos dieron las diez [HD]
Joaquín Sabina dans sa version mexicano-andalouse.
viernes, 26 de octubre de 2018
URUGUAY: Rubén Rada - Dedos (Encuentro en el Estudio)
Une rencontre avec le plus grand représentant de la musique afro-uruguayenne.
jueves, 25 de octubre de 2018
miércoles, 24 de octubre de 2018
CATALUÑA: Les Violines - "Flaix folk: La granja"
Ce groupe s'est formé en 1996 avec l'idée d'offrir de nouvelles sonorités dans le cadre de la musique traditionnelle. Son objectif est de faire revivre l'ambiance joyeuse des fêtes patronales des Pyrénées où un seul violoniste pouvait faire danser tout un village.
martes, 23 de octubre de 2018
BRASIL: Roberta Sá - Água Da Minha Sede
Roberta Varela de Sá est née à Natal, Río Grande del Norte en 1980, mais elle vit à Rio de Janeiro depuis l'âge de 9 ans. Avec sa voix d'une grande pureté, c'est une des principales chanteuses actuelles de la Musica Popular Brasileira.
lunes, 22 de octubre de 2018
PUERTO RICO: Giovanni Hidalgo & Friends perform Tropical
Giovanni Hidalgo, alias "Mañenguito", est né à San Juan de Puerto Rico en 1963. Il a commencé à jouer des congas à l'âge de 3 ans, et comme professionnel à 8 ans. Sa précision dans les frappes est celle d'un batteur, et il obtient une variété de sons que personne aujourd'hui ne peut égaler.
domingo, 21 de octubre de 2018
ARGENTINA: Les Luthiers, Tienes una Mirada Única, Los Premios Mastropiero
L'humour toujours aussi fin de ces humoristes argentins!
sábado, 20 de octubre de 2018
12 OCTOBRE 1492
VENDREDI 12 OCTOBRE
1492 : des habitants de l'île de Guanahaní
au secours d'immigrants clandestins européens en détresse
Agence Fausse Presse
Trois
embarcations à la dérive, voiles déchirées, équipage affamé,
ont été découvertes à l'heure de la sieste par des indigènes
Taínos alors qu'elles s'approchaient dangereusement du récif de
corail. Descendant rapidement de leur hamac, les autochtones firent
signe aux immigrants de jeter l'ancre et de venir en barque jusqu'à
la plage.
Le
passeur qui a organisé cette expédition devant se rendre en Inde
est un génois sans gêne du nom de Cristoforo Colombo. Après avoir
proposé sans succès ses services à la Couronne du Portugal, il a
réussi à séduire les Rois Catholiques espagnols en leur promettant
de ramener de l'Inde de la soie, des épices et beaucoup d'or. Il
faut dire aussi que, suite à l'expulsion de la péninsule des juifs
et des maures, la crise économique se fait sentir. En Estrémadure
et en Andalousie, le chômage atteint des proportions alarmantes, en
particulier chez les soldats démobilisés. Et permettre à cette
population d'émigrer rapidement vers l'Inde par une nouvelle route
permettrait de réduire un peu la misère en Espagne.
En
arrivant sur la plage, avant même de serrer la main du cacique
Caonabo, le dénommé Cristoforo Colombo a planté dans le sable une
bannière représentant une croix. Peut-être pour faire croire au
monde chrétien que sa motivation était avant tout religieuse. Mais
aussi qu'il venait de découvrir un nouveau territoire : les
Indes Occidentales. D'ailleurs, les premiers mots qu'il prononça en
direction du chef indigène furent « Tú, indio ».
Ce dernier n'eut aucune réaction et CC en conclut que c'était un
inculte qui ne comprenait pas un mot d'espagnol, n'avait jamais lu
une carte et ne savait même pas où il habitait.
Sur
ce fait, Anacaona, la femme du cacique Caonabo, se présenta. Et,
sentant l'odeur nauséabonde des nouveaux arrivants, elle les invita
à la suivre vers une cascade pour qu'ils puissent se doucher. Puis
elle leur montra que sous le climat tropical on avait pas besoin de
se couvrir. Ils pouvaient rester torse nu comme elle. Mais,
conditionnés par leur religion primitive qui leur faisait croire que
montrer son corps est un péché, ces immigrants se remirent leurs
vêtements qui puaient le poisson pourri. Anacaona comprit alors
qu'elle avait devant elle des sauvages.
Puis
vint le moment des échanges de cadeaux.Les visiteurs offrirent
quelques colliers en perles de verre et des petits miroirs. « Des
souvenirs bas de gamme pour touristes » murmura un des
indigènes. Les locaux, eux, apportèrent des plateaux de fruits
tropicaux et des perroquets, car le cadeau le plus précieux qu'ils
pouvaient faire, c'était des plumes multicolores. Elles permettaient
en effet de fabriquer les coiffes qui symbolisaient le pouvoir.
Affamés
et assoiffés, les espagnols se sont jetés sur les fruits tropicaux
puis, avec leur sabre, ils ont tranché le cou des perroquets, les
ont déplumés et les ont fait cuire à la broche. En voyant le
spectacle des plumes jetées sur le sable, Caonabo comprit que ces
immigrants ne pourraient pas s'adapter aux coutumes locales et qu'il
valait mieux les renvoyer chez eux.
Après
ce repas frugal, le génois, accompagné de quelques soldats,
entreprit une visite de l'île à la recherche d'or. Il examina le
sable de la rivière et en conclut que le métal précieux ne devait
pas y être abondant, même si certaines femmes indigènes avaient au
nez une perle en or, achetée sûrement à des commerçants venus du
continent.
Les
visiteurs européens décidèrent donc de repartir, déçus d'avoir
fait un si long voyage pour si peu de richesses. Mais avant de
reprendre la mer, Cristóbal Colón (c'est ainsi que l'appelaient les
espagnols) demanda aux Taínos si l'un d'entre eux voulait les
accompagner et découvrir l'Espagne.
Un jeune indigène,
déprimé parce que sa fiancée l'avait abandonné, pensait qu'il
n'avait plus rien à faire sur cette île. Il décida donc de tenter
l'aventure. C'est ainsi que, quelques mois plus tard, il fut présenté
à Barcelone aux Rois Catholiques comme « indien » de
l'Ouest, justifiant ainsi le voyage des trois caravelles.
Et ce sont ces
faits divers peu glorieux que, depuis des siècles, on ose nous
présenter en Europe comme « la découverte de l'Amérique par
Christophe Colomb ». De qui se moque-t-on ?
C'est une preuve
que les « fake news » ne datent pas d'hier. Les
informations que nous donnent aujourd'hui la plupart des médias
européens et états-uniens sur l'Amérique latine sont teintées de
néo-colonialisme, ou franchement manipulées, quand elles traitent
de gouvernements qui ont entrepris une révolution pour donner à
leur pays un peu plus de justice sociale.
Texte :
Paco Lassabe
viernes, 19 de octubre de 2018
NUEVA YORK: Los Hacheros: NPR Music Tiny Desk Concert
Ce groupe dirigé par le conguero et chanteur Héctor "Papote" Jiménez fait une salsa traditionnelle où l'on retrouve l'influence portoricaine de ses parents, celle de la Fania All Stars, mais aussi celle du "son cubano", de Benny Moré et du cha-cha-cha.
jueves, 18 de octubre de 2018
URUGUAY: Jorge Drexler: NPR Music Tiny Desk Concert
Le plus international des auteurs compositeurs interprètes uruguayens.
miércoles, 17 de octubre de 2018
BRÉSIL: Dominguinhos + Lenine [Doidinho, doidinho]
Deux grands artistes du nordeste dans un forró magnifique.
martes, 16 de octubre de 2018
HONDURAS: Aurelio Martínez #PirineosSur
La musique "garifuna" de la côte atlantique du Honduras mise à l'honneur par un de ses principaux représentants.
lunes, 15 de octubre de 2018
COLOMBIE: Monsieur Periné: NPR Music Tiny Desk Concert
Ce groupe colombien navigue entre le jazz manouche, la pop music et le swing. Sa chanteuse Catalina García est originaire de Cali et a fait ses études au Lycée Paul Valéry de cette ville. Le nom du groupe a été inspiré par le livre "Les particules élémentaires" de Michel Houellebecq.
domingo, 14 de octubre de 2018
NEW YORK / PUERTO RICO:Take five . Tito Puente.Jazz latino
En souvenir du grand percussionniste new-yorkais d'origine portoricaine
Tito Puente, décédé en 2000. Sa version du "Take Five" de Paul Desmond
est aussi intéressante que celle du Dave Brubeck Quartet.
sábado, 13 de octubre de 2018
CUBA /FRANCE: Ibeyi - Me Voy (Live on KEXP)
Ces deux soeurs cubaines installées en France seront en concert à l'Espace James Chambaud de Lons le samedi 24 novembre.
viernes, 12 de octubre de 2018
MEXIQUE / HONDURAS:The Bass Walk: Abraham Laboriel
Abraham Laboriel est né en 1947 dans la ville de Mexico dans une famille d'artistes honduriens. C'est le bassiste de studio le plus réputé d'Amérique latine: il a participé à plus de 4000 enregistrements de disques ou de bandes sonores de films. Et joué avec les plus grands.
jueves, 11 de octubre de 2018
BOIRE ET MANGER à Salvador da Bahia (BRÉSIL)
Bien
boire et manger à Salvador da Bahia (Brésil)
Évitons
d'abord quelques malentendus:
- Si
sur votre route, vous trouvez des "borracharias",
détrompez-vous! Ce ne sont pas des lieux où l'on accueille les
"borrachos" (ivrognes en espagnol) mais des petits ateliers
où l'on répare les pneus ("borracha" signifiant
gomme ou caoutchouc en portugais).
-
Par ailleurs, si un glacier a inscrit "picolé" sur sa
vitrine, cela ne veut pas dire que ses glaces sont alcoolisées mais
qu'il vend des glaces à l'eau.
Si
vraiment vous voulez "picoler", rien de tel qu'une bonne
bière locale (les vins brésiliens sont rares) ou une "caipirinha":
cocktail à base de cachaça (rhum brésilien), citron vert, glaçons
pilés et cassonade. Le citron vert peut être remplacé par d'autres
fruits: fraise, orange, fruit de la passion ...
Aujourd'hui,
les jeunes préfèrent souvent la "caipiroska", la cachaça
étant remplacée par de la vodka de qualité médiocre. Effet
dévastateur assuré!
En
réalité, pour lutter contre la soif et survivre à la chaleur
tropicale, le mieux et le moins cher c'est une "agua de coco".
Pour 25 centimes d'euro, on vous décalotte d'un coup de machette une
noix de coco, on vous y plante une paille et vous dégustez une eau
fraîche, abondante, savoureuse et naturelle!
Pour
manger authentique et pas cher, le meilleur endroit c'est la rue ou
la plage :
Une
des spécialités de Salvador da Bahia, c'est l' « acarajé ».
Ce beignet de farine de haricot frit à l'huile de palme, fourré ou
pas de crevettes, et que l'on peut assaisonner avec une sauce au
piment, est savoureux et bourratif. Avec deux, vous avez fait un
repas. Si vous ajoutez un petit gâteau à la noix de coco ( « pastel
de côco »), vous êtes plus que rassasié. Le tout pour moins
de trois euros.
Sur
les plages, vous trouverez les vendeurs de « queijinho ».
Ils ont un petit grill rond, en métal ajouré, rempli de braises,
pour faire légèrement griller leurs brochettes de fromage blanc.
C'est amusant, nourrissant, mais pas vraiment gastronomique quand on
est amateur de fromage. La brochette coûte un real (0,25€). Pas de
quoi s'en priver !
Restaurants
populaires :
Une
des spécialités brésiliennes, c'est le restaurant au
poids (« restaurante ao peso »). Vous prenez une
assiette, vous allez au buffet la remplir, puis vous passez à la
caisse pour la faire peser. Sur un panneau, on vous indique le poids
de l'assiette vide ainsi que le prix de la nourriture au kilo.
Certains restaurants vous proposent même de deviner le poids de
votre assiette avant de la peser, et si vous trouvez le poids exact,
le repas vous est offert ! Dans ce genre de lieu, vous mangez
pour moins de 5€, boisson comprise. Il faut dire que le salaire
minimum au Brésil est d'environ 300€.
Dégustation
de crabes :
Là,
on change de catégorie. Le local est moderne, des écrans vous font
profiter des derniers vidéoclips ou d'un match de football, parfois
des chanteurs médiocres poussent la sono pour masquer leur
faiblesses techniques, et les garçons s'empressent de prendre votre
commande de boissons et de crabes (« caranguejos »). Pour
pouvoir attaquer ces crustacés, on vous apporte une petite planche
en plastique blanc et un maillet de la même couleur. A vrai dire,
ces crabes sont plus petits que nos tourteaux et on dépense plus de
calories en essayant de récupérer le peu de chair de leurs pinces
qu'en la mangeant. Mais le bouillon est bon et c'est amusant comme
apéritif.
Churrascaria :
Ce
soir, nous sommes dans un restaurant chic de Salvador da Bahia dont
la spécialité est la viande. À notre arrivée sur le parking, un
voiturier prend en charge notre véhicule et va le garer. La salle de
restaurant a une capacité de plusieurs centaines de personne et le
pauvre pianiste a du mal à se faire entendre dans le brouhaha. On
est un mardi soir et pourtant les clients sont nombreux. Notre table
de treize est dans la moyenne car ici, on vient apparemment manger en
groupe d'amis ou en famille au sens large. Dans ce lieu, les clients
ont la peau plus blanche que la moyenne, bien que dans l'État de
Bahia, 80% de la population ait du sang africain. C'est en effet à
Salvador da Bahia que débarquaient du temps des colonies les
esclaves venus de Guinée, d'Angola ou du Royaume de Dahomey.
Aujourd'hui, le seul racisme qui existe au Brésil, c'est le racisme
social. Pour être noir et riche, il faut être un bon footballeur,
un bon chanteur ou avoir eu beaucoup de chance !
Une
fois après avoir pris les commandes de boissons, le maître d'hôtel
nous invite à aller au buffet pour choisir nos entrées et nos
légumes. De retour à table, le défilé des serveurs commence.
Chacun nous présente un plat en métal avec, plantée en son centre,
une broche verticale portant de la viande grillée. Bœuf, agneau,
poulet, porc, saucisses, il y en a pour tous les goûts. Si la viande
présentée nous fait envie, le serveur nous en coupe verticalement
une tranche que nous récupérons avec la pince mise à notre
disposition. Il y a autant de serveurs que de viandes différentes et
dès que l'un d'entre eux voit qu'il y a un peu de place dans notre
assiette, il arrive vers nous.
Vers
22h00, la plupart des tables en sont au dessert et l'ambiance monte.
Dans une ville de trois millions d'habitants, on fête beaucoup
d'anniversaires et visiblement, ce restaurant est le lieu idéal pour
ce genre de célébrations. Le rituel est toujours le même : un
serveur s'approche de la table où se situe la personne honorée en
portant un magnifique gâteau . Les autres suivent en frappant dans
leur mains et en chantant « Parabéns pra você » sur
l'air de « Joyeux anniversaire ». Puis ils entourent la
table et continuent à chanter et frapper dans leurs mains comme
s'ils faisaient partie de la famille. Une fois la bougie soufflée et
la salve d'applaudissements terminée, le service reprend
normalement.
Alors
qu'à notre table chacun savoure en silence son dessert, le cortège
des serveurs se dirige vers l'un d'entre nous avec un gâteau
d'anniversaire. C'est Jef l'heureux élu. Devant tant d'attentions,
il est un peu ému mais surpris à la fois, car nous sommes fin août
et il est né au mois de mai.
Pour
ne blesser personne, il écoute le chant et les battements de main,
puis il souffle la bougie.
Le
maître d'hôtel s'approche alors de lui pour lui serrer la main et
d'un geste maladroit, il renverse le gâteau sur son pantalon.
Heureusement, ce gâteau était en plastique et ce faux anniversaire
n'était qu'une blague sympathique pour mettre un peu d'ambiance.
Combien de vrais anniversaires ont été fêtés dans la soirée ?
Allez savoir !
Borracharia |
Agua de côco |
Queijinho |
Acarajés |
Restaurante ao peso |
Caranguejos |
Churrascaria |
Fotos
y texto : Paco Lassabe
miércoles, 10 de octubre de 2018
martes, 9 de octubre de 2018
MÉXICO /CALIFORNIA: A La Luz De Una Vela- Dueto Dos Rosas
Emily Rosas et Sheyla Rosas sont californiennes mais leur famille est originaire de Oaxaca. La façon dont elles interprètent ce corrido montre qu'elles cultivent leurs racines avec amour.
lunes, 8 de octubre de 2018
PORTUGAL: Miguel Araújo (c/ Ana Moura) no Coliseu do Porto | OFICIAL | E Tu Gostav...
Miguel Araújo est un chanteur de pop-folk né à Maia en 1978. Il s'est fait connaître comme leader du groupe de rock alternatif Os Azeitonas, avant d'entreprendre une carrière en solitaire.
Pour son second LP, "Crónicas da cidade grande", il a pu compter sur la collaboration de la "fadista" Ana Moura.
sábado, 6 de octubre de 2018
EUSKADI: Kolme Katu - Bosón de Jigs
Kolme Katu est un quatuor de Vitoria/Gasteiz formé en 2015. Son premier disque s'intitule "Palug", nom d'une chatte de la mythologie galloise. Il comprend 11 compositions originales, souvent influencées par la musique celte.
viernes, 5 de octubre de 2018
CABO VERDE: Neuza - Padri Que Casam - AFH720
Neuza est née en 1985 à Praia, sur l'île volcanique de Fogo. Elle interprète de sa voix claire et avec beaucoup de swing les rythmes de cette île: talaia baxo, rabolo ou curcutiçan.
jueves, 4 de octubre de 2018
COMUNIDAD VALENCIANA: I tu, sols tu - el Diluvi (Videoclip Oficial)
El Diluvi se définit comme un groupe folk moderne qui fusionne différents styles musicaux pour obtenir un métissage méditerranéen, mais avant tout valencien.
miércoles, 3 de octubre de 2018
BRÉSIL: Caxangá - CD Pé de Choro - Choro das 3
Le "choro", qui signifie pleur ou lamentation, est une musique populaire instrumentale au rythme très rapide. Elle demande donc une grande virtuosité. Le choro est né au XIX° siècle à Rio de Janeiro, sous l'influence des musique de cour européennes et en particulier de la cour portugaise en exil, et aussi de rythmes africains comme le lundu.
martes, 2 de octubre de 2018
ANDALUCÍA: Chambao - Los Sueños (Videoclip)
Ce groupe originaire de Malaga mélange le flamenco avec la musique électronique d'ambiance pour faire du "Flamenco Chill". Il doit en grande partie sa notoriété au charisme de sa chanteuse La Mari, filmée pour ce clip vidéo dans les Andes argentines.
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