miércoles, 18 de febrero de 2015

ECUADOR: Ñanda Mañachi

Ce groupe culturel équatorien, dont le nom signifie "Prête-moi le chemin", est originaire de Peguche.
C'est le porte-parole du peuple otavaleño qui lutte pour conserver ses traditions et la musique indigène authentique de l'Equateur. Son directeur, Alfonso Cachiguanco, est un homme humble qui se consacre à l'artisanat et à la musique, et qui est l'auteur ou l'arrangeur de plus de 250 morceaux.

viernes, 13 de febrero de 2015

Portugal: les forcados

Les forcados sont des groupes d'amateurs, souvent originaires du Ribatejo,  qui, pour la gloire, pour un bon repas, ou pour les beaux yeux de leur fiancée, affrontent à main nue les taureaux ( a "pega") pour les immobiliser avant qu'ils soient reconduits au toril. Cette tradition remonte à 1836, suite à l'interdiction de tuer les taureaux à la vue du public, décrétée par la reine Dona Maria II.

                                          Forcados de Alenquer
Leur nom vient du fait qu'ils étaient munis autrefois d'une petite fourche à long manche, ou pique à deux dents, qui leur permettait de tirer au mousquet, et ainsi d'éloigner l'animal  lorsqu'il s'approchait trop  de l'estrade royale ou du public, dans les arènes de fortune.

jueves, 12 de febrero de 2015

Cuba Para Mestizar - Eme Alfonso

La jeune chanteuse et compositrice cubaine Eme Alfonso, directrice du festival Havana World Music, propose avec talent une chanson et un vidéoclip qui évoquent toutes les racines et les traditions culturelles de la population cubaine, ainsi que le métissage qui s'est produit sur l'île.

martes, 10 de febrero de 2015

EXTREMADURA: el Peropalo en Villanueva de La Vera

Un carnaval populaire  qui permet à toutes les générations de s'amuser en respectant une tradition, un rituel, sans dépenser beaucoup d'argent.

lunes, 9 de febrero de 2015

MEXIQUE: CARNAVAL TLACUILOHCAN 2014

Dans l'Etat de Tlaxcala, au Mexique, les danseurs du carnaval traditionnel (les "huehues", mot qui en langue náhuatl signifie "vieux") portent des masques en bois qui représentent les visages des colons espagnols: teint clair, yeux bleus, barbe et moustache. Leur danse est simple et assez maladroite car ces descendants des conquistadors, par leur attitude et leur costume inspiré des aztèques, essayent d'imiter les indiens sans vraiment y parvenir. A moins que ce soient les indiens qui à leur tour imitent les vieux colons espagnols et leurs danses de salon. Ou les deux à la fois. Depuis quelques années, le côté satirique de cette danse a été atténué par la présence des danseuses qui accompagnent ces faux espagnols avec un peu plus de grâce qu'eux.