viernes, 3 de febrero de 2023

CUBA / CHILE: Te me Fuiste | Ana Carla Maza (Official Music Video)


Ana Carla Maza est née le 14 juin 1995 à La Havane d’un père musicien chilien, Carlos Maza, et d’une mère cubaine guitariste, Mirza Sierra. « Naître un 14 juin, comme Che Guevara, ça marque, “Hasta la victoria, siempre venceremos !” », commente-t-elle en riant.

À 5 ans, elle commence à jouer du piano, et reçoit un enseignement de la soeur du pianiste Chucho Valdés. Ses parents s'installent dans un petit village et y montent une école de musique. Elle découvre la rumba, et les cérémonies en musique de la santeria. Elle commence le violoncelle à 8 ans et apparaît sur scène pour la première fois à La Havane alors qu'elle a à peine 10 ans. En 2007, sa famille quitte Cuba pour l’Espagne.

À 13 ans, elle commence à être mise à contribution par son père sur des projets musicaux professionnels de celui-ci. Ainsi, elle joue sur deux enregistrements que son père sort en 2010, Carlos Maza en Familia et Quererte. Elle passe de premiers concours musicaux, joue Piotr Ilitch Tchaïkovski et Camille Saint-Saëns, en soliste dans un orchestre symphonique. Et elle commence ausssi à chanter tout en jouant du violoncelle.

Elle déménage à Paris en 2012 pour étudier au Conservatoire de musique de la capitale française. Ellle continue des études musicales au Pôle supérieur d’enseignement artistique Paris Boulogne-Billancourt (PSPBB), au sein de Sorbonne Universités, puis se lance dans une carrière solo, se produisant dans toute l'Europe, rencontrant à cette époque le violoncelliste Vincent Ségal qui l'encourage. En 2016, elle sort Solo Acoustic Concert, inspiré des traditions musicales de son enfance, de la bossa nova brésilienne à la habanera cubaine en passant par un vocabulaire musical plus large, et en 2020 elle sort La Flor, premier album studio. Les deux albums incorporent des rythmes latins, des airs pop, des harmonies jazz et des techniques classiques. Un nouvel album, Bahía, sort en février 2022, mélange de violoncelle classique et de voix, puisant aussi dans le son cubain, la samba, la bossa nova, le tango, le jazz et la chanson. Elle joue sur scène dans des festivals, entre autres au Paris Jazz Festival, à Souillac en Jazz et à Jazz à la Villette. En 2023, un nouvel album studio est produit, Caribe, qu’elle enregistre en sextette.

source: wikipedia

jueves, 2 de febrero de 2023

El año del conejo (Asier y Javier)




 

Nombran a primera mujer jefa de Gobierno en Guinea Ecuatorial

Nombran a primera mujer jefa de Gobierno en Guinea Ecuatorial: Roka Botey había ejercido como ministra delegada de Educación, así como vicerrectora de la Universidad Nacional de Guinea Ecuatorial (UNGE).

¿Por qué cae la inmigración irregular en Andalucía? (malagahoy.es)

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CASTILLA LA MANCHA: Los Hermanos Cubero, Rodrigo Cuevas - Llama encendida


Tres años después del estremecedor trabajo Quique dibuja la tristezaLos Hermanos Cubero regresan con una monumental propuesta, un disco doble. O posiblemente sería más correcto hablar de dos discos, pues estamos ante dos entregas totalmente diferentes en lo musical. El primero de los discos lleva por título Errantes telúricos y en él encontramos a un nutrido grupo de grandes artistas de nuestra música, que han aceptado el reto de navegar por las aguas a las que les han invitado Enrique y Roberto Cubero. Porque Amaia, Cristina Rosenvinge, Rodrigo Cuevas, Carmen París, Hendrik Röver, Ara Malikian, Nacho Vegas, Josele Santiago y Rocío Márquez, entre otros, se imbuyen de la propuesta de Los Cubero para acercarse sin reparos a músicas muy diferentes a las que la mayoría de ellos practican habitualmente.

El segundo disco, Proyecto Toribio, rinde homenaje con diez piezas instrumentales a Toribio del Olmo, violinista de Algora, Guadalajara, y reputado intérprete de la primera mitad del siglo XX, cuyo legado fue recogido en grabaciones de campo hace décadas y permanecía injustamente olvidado. En este CD encontramos otro grupo de excelentes colaboradores de un mundo musical más cercano a la tradición y al folk: Blanca Altable, Jaime del Blanco, Diego Galaz, Paula Gómez, Begoña Riobó, Javier Román “El Niñu”, María San Miguel y Águeda Sastre, todos ellos excelentes violinistas.

fuente: diario folk